Critique et Avis De La méthode de Daniela Vannuchi « stop mal au dos »

Le mal de dos est l’une des douleurs chroniques les plus répandues au monde, on parle souvent du “mal du siècle“. Certaines personnes qui veulent avoir des abdos s’entraînent de manière inappropriée et se plaignent régulièrement de maux de dos incessants. Plus généralement, le mal de dos peut survenir pour de multiples raisons : croissance rapide, le fait de mal se tenir, d’être assis une grande partie de la journée ou au contraire debout en position statique. J’ai déjà longuement évoqué les possibles problèmes de dos rencontrés chez les personnes qui souhaitent faire des abdos, ou qui oublient de travailler suffisamment le gainage de leurs abdominaux. C’est pour cette raison qu’il est impératif de bien savoir comment faire des abdos pour éviter ce genre de souci.


Malgré tout, chacun a malheureusement sa propre expérience du mal de dos. Est-ce une raison pour s’avouer vaincu ? Certainement pas ! C’est pourquoi je souhaite vous présenter ici un programme spécialement adapté au traitement des maux de dos : Stop Mal au Dos. Ce programme a été initié par Daniela Vannuchi, diplômée en Biocinétique (C.S.C.S.). Le programme propose une méthode révolutionnaire pour combattre et venir à bout des maux de dos.

 La méthode de Daniela Vannuchi stop mal au dos

 Qu’il s’agisse d’un coup de poignard qui coupe le souffle , d’une douleur lancinante ou d’une brûlure dans une partie de votre colonne vertébrale, les maux de dos sont parmi les problèmes de santé les plus communs chez les adultes .En plus de la douleur, les maux de dos peuvent coûter cher sur le plan de la productivité d’une personne active. Bien que la plupart des problèmes de dos soient mineurs, certains peuvent être douloureux et chroniques.

Le mal de dos a plusieurs causes .Il n’est pas le résultat d’un seul incident. Parmi les causes les plus courantes il y a :

– Le stress répété
- les mauvaises postures
- Les entorses et les foulures
- les hernies de disques
- Les blessures traumatiques
- Le surpoids et l’obésité
- Les charges lourdes
- Le mode de vie sédentaire et le manque d’activité…

Pour prévenir la douleur dorsale, elle est en grande partie évitable à l’exception de certains cas : Par exemple, lorsque vous êtes assis, assurez-vous que votre bas du dos a suffisamment de soutien. Demandez une chaise ergonomique au travail, ou si cela n’est pas possible, placez une serviette roulée au bas de votre dos. Aussi, prenez le temps de vous promener et de vous étirer au moins une fois par heure tout au long de votre journée de travail…

 Que contient ce programme ?

Le programme se compose de plusieurs éléments. Il est l’un des programmes les plus complets actuellement disponibles :
  • La méthode “Stop Mal au Dos”, décrite dans cet article
  • Une vidéo et son Guide d’accompagnement sur les exercices d’étirement dédiés aux douleurs dorsales
  • Une vidéo et son Guide d’accompagnement sur les exercices de renforcement musculaire dédiés au mal de dos
  • Une vidéo d’apprentissage de 40 minutes sur les techniques de massage du dos
  • Un bonus de 35 titres musicaux pour faciliter la relaxation

Avantages et inconvénients

Pour
  • Le professionnalisme de la méthode en font le programme le plus reconnu actuellement en vente pour soigner le mal de dos
  • La technique d’auto évaluation est l’un des points forts de ce programme
  • L’ensemble des éléments fournis est extrêmement complet et permet de débuter le programme en 5 minutes, de chez soi, sans se déplacer
  • La grande qualité des vidéos proposées
  • Un remboursement possible pendant 60 jours, ce qui est un gage de sérieux
  • Le programme est proposé en ce moment à -50%, ce qui est toujours sympa :)
Contre
  • Malheureusement, le programme ne peut pas guérir toutes les maladies du monde (décalcifications osseuses notamment…)
  • Dommage de ne pas pouvoir bénéficier d’un suivi personnalisé avec Daniela Vannuchi

Le verdict

Je connais ce programme depuis plusieurs mois désormais, et je l’ai conseillé à plusieurs personnes qui en ont été très satisfaites (ces personnes se demandaient comment avoir des abdos malgré leurs douleurs au dos…).

Ce que j’apprécie avec ce programme est qu’il ne promet pas de choses invraisemblables mais propose au contraire une méthode technique,  s’appuyant sur des ressources (livre, guides, vidéo…) vraiment très bien réalisées. Vous pouvez mettre facilement au point votre propre programme de traitement des douleurs que vous avez identifiées.

Si vous êtes parmi ceux qui souffrent d’une douleur dorsale Daniela Vannuchi experte diplômée en Biokinétique aide des patients à soulager leurs maux de dos depuis plusieurs années.

C’est grâce à Internet qu’elle partage son savoir-faire avec le plus grand nombre de gens.
En effet, son objectif dans la vie est d’aider le plus possible de monde à ne plus souffrir de maux de dos et de maux des cervicales. Elle a développé une méthode facile à suivre qui vous aidera à soulager, soigner et renforcer votre dos rapidement, sans douleur et sans médicament !

Le mal de dos: La mal du siecle


Qui n’a pas mal au dos une fois dans sa vie, une fois au printemps et en automne, voire tous les jours, ces dix dernières années? Comparées à celles des années cinquante, les statistiques actuelles montrent que les prévisions faites à l’époque n’étaient pas extrêmement pessimistes. Elles parlaient du mal de dos comme d’un fléau national.

Maux de dos?

Le citadin est le premier à être sujet à cette maladie, très fréquente au cours du dernier siècle ou, en tous les cas, au cours des cinquante dernières années.
Il est surprenant de voir en consultation des gens âgés qui se plaignent de douleurs seulement depuis un mois, voire depuis un an à la suite d’une chute, d’un grand stress ou d’un déménagement, et qui ne se rappellent pas avoir eu de maux semblables au cours de leur longue vie. Il est d’autant plus angoissant d’examiner des jeunes qui ont mal lors du moindre effort ou simplement en accompagnant leurs parents faire leurs courses. On voit même des enfants de 10 ans se plaindre de blocage lombaire (lombago).
En écartant les marbriers, les charpentiers, les maçons ou les mécaniciens de camion qui sont plus exposés que les autres travailleurs de force, les premiers touchés à notre époque sont les employés de bureau, les voyageurs de commerce, les maîtresses de maison et les étudiants. Les déménageurs, les agriculteurs et les travailleurs debout consultent beaucoup moins, même rarement. En trente ans de pratique, je n’ai jamais vu de déménageur à ma consultation.
Les autres groupes à risque dans notre société sont constitués des personnes qui souffrent de conditions de travail non adaptées :
les couturières qui gardent des heures durant la tête en flexion penchée sur leur ouvrage, les employés d’usine ou les horlogers qui conservent des positions fixes six à hui heures durant sur des sièges peu ou mal réglables, les chauffeurs de voiture, de taxi ou d’engin de chantier, les peintres en bâtiment et les employés qui manipulent des produits toxiques. Enfin, les stressés et les dépressifs. Ne sont pas non plus épargnés, comme on le sait, les sportifs de pointe ou ceux qui pratiquent le sport avec excès.
Force est de constater que celui qui marche régulièrement souffre moins du dos, que celui qui pratique des sports variés et sans excès guérit vite et, bien sûr, que celui qui a une hygiène de vie appropriée et bouge beaucoup réagit vite à quelques maux de dos.
Que dire donc de nos enfants assis en moyenne sept heures par jour et qui pratiquent tout au plus trois heures de gym par semaine? Alors qu’il leur en faudrait au moins une heure par jour… Dans les pays anglo-saxons, les jeunes écoliers ou étudiants ont la possibilité de faire du sport tous les après-midi, et les salles dans les campus restent ouvertes les week-ends.

Le stress et le mal au dos


Le stress a sans doute un effet sur tous nos organes, en ce qui concerne notre spécialité, nous constatons une augmentation excessive du tonus, c’est-à-dire des contractures dans les épaules, la face et la mâchoire comme sur l’ensemble du dos.
Les expressions populaires «en avoir plein le dos» ou «cela me fait c…» ne sont pas sans fondements; le stress transforme certains muscles du tronc en un véritable corset à la fois rigide et douloureux.
La réponse au stress des organes internes et, surtout, celle du tube digestif est d’altérer sa mobilité (constipation ou au contraire diarrhée, etc.) et de sécréter des enzymes d’une manière anormale. Le sujet se sent ballonné, a des aigreurs et des gaz.
Il peut présenter des céphalées se plaindre de raideurs des épaules et de la nuque, ainsi que de douleurs dorsales ou lombaires. Lorsque le stress est de longue durée, les conséquences peuvent être désastreuses sur le système locomoteur en entier, donc pas uniquement sur le dos.

Stress et maux au dos ?


L’exemple des personnes ayant vécu des traumatismes de guerre est parlant. Un médecin de guerre en Bosnie me confie: «Les premiers symptômes sont des maux d’estomac, du cou et des maux de tête, les mâchoires sont très, très contractées, et les patients se plaignent du dos…»
Les soins chiropratiques sont aussi efficaces pour des douleurs de ce type. Et ils sont complémen-taires, entre autres, à l’utilisation d’anxiolytiques ou de médica-ments pour un colon spasmodique, une vésicule qui se vide mal ou une hyperacidité de l’estomac.

Les pathologies fonctionnelles du mal au dos


L’hyperacidité gastrique produit de fortes contractures sur la base du crâne et dans la zone dorsale haute, celles-ci partent facilement avec des manipulations appropriées des vertèbres concernées, mais elles reviennent en quelques heures si aucune mesure n’est prise pour soigner l’estomac. Et elles peuvent devenir plus résistantes aux soins si la thérapie est poursuivie d’une manière inadéquate.
Les cas de ce genre sont fréquents, mais quelques séances de plus sont parfois utiles pour affiner le diagnostic.
Dans le même ordre d’idées, les patients se plaignant de diverses maladies de l’intestin et du côlon souffrent souvent de lombalgies, voire de sciatiques. Le seul fait d’être ballonné (à cause d’une inflammation, de rétention d’eau, de gaz, de transit irrégulier, etc.) augmente d’une manière considérable les contraintes physiques sur le bassin et la colonne lombaire, et rompt le délicat équilibre articulaire garant d’un bon fonctionnement.
La pensée populaire schématise souvent la relation de cause à effet des douleurs dorsales avec un faux mouvement, un effort bénin, une mauvaise position lors du sommeil.
En fait, il y a souvent plusieurs causes, qui ne sont pas forcément « mécaniques » ni dues à un événement accidentel et sont souvent éloignées de l’endroit douloureux.
Les douleurs du haut du dos chez les adolescents, même des adultes, sous thérapie d’orthodontie ou des patients souffrant de malocclusion en sont un exemple. Ce sont des douleurs très tenaces dont l’horaire est souvent matinal ou qui s’accentuent lors de longues positions assises. Elles disparaissent radicalement dès que le thérapeute corrige la malocclusion ou les tensions qui y sont reliées. Il peut s’agir aussi d’une simple pression trop forte entre deux dents, une canine avec une incisive, par exemple.

Chaussures et mal de dos

Les chaussures mal construites ou mauvaises et leurs conséquences sur la posture nécessiteraient un chapitre entier. Le pied chaussé a besoin d’être soutenu, la marche pieds nus sur un sol inégal ne pose évidemment aucun problème.
La tendance actuelle est d’acheter des chaussures confortables et molles. Si l’avant-pied peut être contenu dans une matière souple, l’assise du talon devrait être assurée par des contreforts fermes qui évitent le tangage. La répétition des mêmes mouvements sur un sol dur et plat fatigue la cheville et les muscles de la jambe. Cette fatigue se transmet en amont sur le bassin et le dos et provoque un concert de dysfonctionnements posturaux et des douleurs tenaces.

Le sport et le mal de dos

La marche sur terrain accidenté fatigue aussi lors du port de chaussures molles, mais les mouvements étant constamment variés, la fatigue ainsi engendrée se répartit sur tous les muscles de la jambe.
Paradoxalement, l’effet de talons modérément hauts (jusqu’à 5 cm) sur l’appareil locomoteur semble être moins nocif que des chaussures molles et plates. Tout d’abord, la chaussure à talons a une construction plus solide qui empêche l’étirement de l’arc plan-taire ainsi que la torsion de la chaussure ; sans cette structure rigide, la marche avec ce genre de chaussures serait impossible. L’appui excessif sur l’avant du pied n’est guère confortable ni bon pour le pied qui se déforme, à moins d’avoir des ligaments très solides, mais la marche sur la pointe des pieds est un exercice qui est sans danger s’il ne dure pas trop longtemps. Les enthousiastes de ce type de chaussures ne se plaignent pas plus que les autres de leur dos.
La marche pieds nus ne pose pas de problème pour l’ensemble de l’appareil locomoteur, mais c’est le sol dur et plat qui est handicapant. Sur une telle surface, la répétition du même appui ou des mêmes mouvements lors de la marche ou de la course fatigue nos articulations et notre charpente musculaire beaucoup plus que sur un terrain inégal ou plus mou. Cette fatigue se transmet plus haut et les premières douleurs se ressentent souvent en haut du bassin et dans la zone dorsolombaire.
Comme je l’ai déjà dit plus haut, l’immobilité par habitude, ou par obligation professionnelle, est la cause la plus fréquente des maux de dos. Notre système locomoteur est un appareil qui est fait pour bouger, stationner debout, porter des poids, marcher, courir et s’accroupir.
La position assise ne permet en aucune manière l’équilibre des tensions qui nous maintient en position érigée. Cette position conservée longtemps, la fatigue musculaire qu’elle engendre subsiste vingt-quatre heures ou plus et s’additionne chaque jour. Les petites articulations vertébrales ne supportent pas non plus l’im-mobilité. Les contractures et les compensations mécaniques qui s’échafaudent en conséquence sont autant de raisons pour les douleurs qui peuvent être locales, comme irradiées.
Le sport mal pratiqué motive un nombre croissant de consultations. En tête de liste se trouvent les adeptes des salles de gym, et autres, qui font de 30% à 40% de mouvements inappropriés pour leur âge ou pour leur condition physique ; souvent parce que l’ergonomie du dos n’est pas respectée et, surtout, en voulant absolument renforcer la paroi abdominale aux dépens du dos .
Si on veut lever un poids, on le fait en position de salutation, comme les haltérophiles, et c’est alors la musculature dorsale qui fait le plus gros travail, en bloquant le rachis lombaire dans sa position naturelle, en lordose physiologique, et les hanches en flexion, comme une grue.
Pour ne pas charger les articulations postérieures et le disque, la musculature abdominale qui agit au bout d’un long levier se contracte également pour équilibrer les forces, mais dans une moindre mesure.

Etirement du dos… Oui, mais attention


L’étirement des chaînes postérieures est utile, voire indispensable pour de nombreux patients, mais la manière de le faire est souvent inappropriée, surtout si elle n’est pas suffisamment personnalisée.
La mauvaise manière de tirer le dos.
• L’élongation de la musculature rachidienne mal faite a tendance à surcharger les zones mécaniquement faibles, comme la jonction lombosacrée ou craniocervicale
• L’allongement des muscles postérieurs de la cuisse et de la jambe a les mêmes effets délétères s’il est mal effectué.
• Dans le même ordre d’idées, les exercices tendant à aplatir la lordose lombaire sont des armes à doubles tranchants. Exécutés en position assise les pieds au sol, ou debout, et inscrits dans une rééducation globale de l’individu, ceux-ci sont forts utiles

L’ostéoporose


L’ostéoporose ou perte de masse osseuse se traduit par des dou­leurs, des tassements vertébraux ou des fractures dont les séquel­les rendent la colonne beaucoup moins fonctionnelle. C’est une maladie connue bien documentée pour laquelle les soins modernes ont peu d’effets secondaires. Il est toutefois intéressant de noter (maladies métaboliques et systémiques mis à part) qu’elle touche d’avantage les sédentaires et les patients qui présentent des dos raides.

Comment eviter l’ostéoporose

On sait que le meilleur moyen d’éviter l’ostéoporose, excepté une alimentation équilibrée, est une activité sportive régulière au grand air. J’ajouterai que celui qui porte régulièrement des poids ou a une activité professionnelle physiquement astreignante souffre rarement de cette maladie. L’ostéoporose n’est pas une contre indication aux soins chiropratiques, contrairement à ce qui est sou vent affirmé.

L’arthrose


L’arthrose, qui est perçue comme un mal quasi inévitable, désigne une destruction avec reconstruction un peu désordonnée d’une arti­culation après un traumatisme, une surcharge mécanique ou une inflammation.
On voit des gens remplis d’arthrose rachidienne qui souffrent peu ou pas, surtout s’ils restent actifs. L’arthrose des gros­ses articulations, comme celle de la hanche et du genou est souvent douloureuse et débilitante.
Dans ces cas, la boiterie qu’elle engen­dre peut favoriser l’établissement de douleurs de dos. La prise en charge chiropratique peut calmer ces douleurs et conserver le bon fonctionnement des grosses articulations touchées ; cela permet, en outre, une récupération bien plus rapide après la chirurgie.