Critique et Avis De La méthode de Daniela Vannuchi « stop mal au dos »

Le mal de dos est l’une des douleurs chroniques les plus répandues au monde, on parle souvent du “mal du siècle“. Certaines personnes qui veulent avoir des abdos s’entraînent de manière inappropriée et se plaignent régulièrement de maux de dos incessants. Plus généralement, le mal de dos peut survenir pour de multiples raisons : croissance rapide, le fait de mal se tenir, d’être assis une grande partie de la journée ou au contraire debout en position statique. J’ai déjà longuement évoqué les possibles problèmes de dos rencontrés chez les personnes qui souhaitent faire des abdos, ou qui oublient de travailler suffisamment le gainage de leurs abdominaux. C’est pour cette raison qu’il est impératif de bien savoir comment faire des abdos pour éviter ce genre de souci.


Malgré tout, chacun a malheureusement sa propre expérience du mal de dos. Est-ce une raison pour s’avouer vaincu ? Certainement pas ! C’est pourquoi je souhaite vous présenter ici un programme spécialement adapté au traitement des maux de dos : Stop Mal au Dos. Ce programme a été initié par Daniela Vannuchi, diplômée en Biocinétique (C.S.C.S.). Le programme propose une méthode révolutionnaire pour combattre et venir à bout des maux de dos.

 La méthode de Daniela Vannuchi stop mal au dos

 Qu’il s’agisse d’un coup de poignard qui coupe le souffle , d’une douleur lancinante ou d’une brûlure dans une partie de votre colonne vertébrale, les maux de dos sont parmi les problèmes de santé les plus communs chez les adultes .En plus de la douleur, les maux de dos peuvent coûter cher sur le plan de la productivité d’une personne active. Bien que la plupart des problèmes de dos soient mineurs, certains peuvent être douloureux et chroniques.

Le mal de dos a plusieurs causes .Il n’est pas le résultat d’un seul incident. Parmi les causes les plus courantes il y a :

– Le stress répété
- les mauvaises postures
- Les entorses et les foulures
- les hernies de disques
- Les blessures traumatiques
- Le surpoids et l’obésité
- Les charges lourdes
- Le mode de vie sédentaire et le manque d’activité…

Pour prévenir la douleur dorsale, elle est en grande partie évitable à l’exception de certains cas : Par exemple, lorsque vous êtes assis, assurez-vous que votre bas du dos a suffisamment de soutien. Demandez une chaise ergonomique au travail, ou si cela n’est pas possible, placez une serviette roulée au bas de votre dos. Aussi, prenez le temps de vous promener et de vous étirer au moins une fois par heure tout au long de votre journée de travail…

 Que contient ce programme ?

Le programme se compose de plusieurs éléments. Il est l’un des programmes les plus complets actuellement disponibles :
  • La méthode “Stop Mal au Dos”, décrite dans cet article
  • Une vidéo et son Guide d’accompagnement sur les exercices d’étirement dédiés aux douleurs dorsales
  • Une vidéo et son Guide d’accompagnement sur les exercices de renforcement musculaire dédiés au mal de dos
  • Une vidéo d’apprentissage de 40 minutes sur les techniques de massage du dos
  • Un bonus de 35 titres musicaux pour faciliter la relaxation

Avantages et inconvénients

Pour
  • Le professionnalisme de la méthode en font le programme le plus reconnu actuellement en vente pour soigner le mal de dos
  • La technique d’auto évaluation est l’un des points forts de ce programme
  • L’ensemble des éléments fournis est extrêmement complet et permet de débuter le programme en 5 minutes, de chez soi, sans se déplacer
  • La grande qualité des vidéos proposées
  • Un remboursement possible pendant 60 jours, ce qui est un gage de sérieux
  • Le programme est proposé en ce moment à -50%, ce qui est toujours sympa :)
Contre
  • Malheureusement, le programme ne peut pas guérir toutes les maladies du monde (décalcifications osseuses notamment…)
  • Dommage de ne pas pouvoir bénéficier d’un suivi personnalisé avec Daniela Vannuchi

Le verdict

Je connais ce programme depuis plusieurs mois désormais, et je l’ai conseillé à plusieurs personnes qui en ont été très satisfaites (ces personnes se demandaient comment avoir des abdos malgré leurs douleurs au dos…).

Ce que j’apprécie avec ce programme est qu’il ne promet pas de choses invraisemblables mais propose au contraire une méthode technique,  s’appuyant sur des ressources (livre, guides, vidéo…) vraiment très bien réalisées. Vous pouvez mettre facilement au point votre propre programme de traitement des douleurs que vous avez identifiées.

Si vous êtes parmi ceux qui souffrent d’une douleur dorsale Daniela Vannuchi experte diplômée en Biokinétique aide des patients à soulager leurs maux de dos depuis plusieurs années.

C’est grâce à Internet qu’elle partage son savoir-faire avec le plus grand nombre de gens.
En effet, son objectif dans la vie est d’aider le plus possible de monde à ne plus souffrir de maux de dos et de maux des cervicales. Elle a développé une méthode facile à suivre qui vous aidera à soulager, soigner et renforcer votre dos rapidement, sans douleur et sans médicament !

Le mal de dos: La mal du siecle


Qui n’a pas mal au dos une fois dans sa vie, une fois au printemps et en automne, voire tous les jours, ces dix dernières années? Comparées à celles des années cinquante, les statistiques actuelles montrent que les prévisions faites à l’époque n’étaient pas extrêmement pessimistes. Elles parlaient du mal de dos comme d’un fléau national.

Maux de dos?

Le citadin est le premier à être sujet à cette maladie, très fréquente au cours du dernier siècle ou, en tous les cas, au cours des cinquante dernières années.
Il est surprenant de voir en consultation des gens âgés qui se plaignent de douleurs seulement depuis un mois, voire depuis un an à la suite d’une chute, d’un grand stress ou d’un déménagement, et qui ne se rappellent pas avoir eu de maux semblables au cours de leur longue vie. Il est d’autant plus angoissant d’examiner des jeunes qui ont mal lors du moindre effort ou simplement en accompagnant leurs parents faire leurs courses. On voit même des enfants de 10 ans se plaindre de blocage lombaire (lombago).
En écartant les marbriers, les charpentiers, les maçons ou les mécaniciens de camion qui sont plus exposés que les autres travailleurs de force, les premiers touchés à notre époque sont les employés de bureau, les voyageurs de commerce, les maîtresses de maison et les étudiants. Les déménageurs, les agriculteurs et les travailleurs debout consultent beaucoup moins, même rarement. En trente ans de pratique, je n’ai jamais vu de déménageur à ma consultation.
Les autres groupes à risque dans notre société sont constitués des personnes qui souffrent de conditions de travail non adaptées :
les couturières qui gardent des heures durant la tête en flexion penchée sur leur ouvrage, les employés d’usine ou les horlogers qui conservent des positions fixes six à hui heures durant sur des sièges peu ou mal réglables, les chauffeurs de voiture, de taxi ou d’engin de chantier, les peintres en bâtiment et les employés qui manipulent des produits toxiques. Enfin, les stressés et les dépressifs. Ne sont pas non plus épargnés, comme on le sait, les sportifs de pointe ou ceux qui pratiquent le sport avec excès.
Force est de constater que celui qui marche régulièrement souffre moins du dos, que celui qui pratique des sports variés et sans excès guérit vite et, bien sûr, que celui qui a une hygiène de vie appropriée et bouge beaucoup réagit vite à quelques maux de dos.
Que dire donc de nos enfants assis en moyenne sept heures par jour et qui pratiquent tout au plus trois heures de gym par semaine? Alors qu’il leur en faudrait au moins une heure par jour… Dans les pays anglo-saxons, les jeunes écoliers ou étudiants ont la possibilité de faire du sport tous les après-midi, et les salles dans les campus restent ouvertes les week-ends.

Le stress et le mal au dos


Le stress a sans doute un effet sur tous nos organes, en ce qui concerne notre spécialité, nous constatons une augmentation excessive du tonus, c’est-à-dire des contractures dans les épaules, la face et la mâchoire comme sur l’ensemble du dos.
Les expressions populaires «en avoir plein le dos» ou «cela me fait c…» ne sont pas sans fondements; le stress transforme certains muscles du tronc en un véritable corset à la fois rigide et douloureux.
La réponse au stress des organes internes et, surtout, celle du tube digestif est d’altérer sa mobilité (constipation ou au contraire diarrhée, etc.) et de sécréter des enzymes d’une manière anormale. Le sujet se sent ballonné, a des aigreurs et des gaz.
Il peut présenter des céphalées se plaindre de raideurs des épaules et de la nuque, ainsi que de douleurs dorsales ou lombaires. Lorsque le stress est de longue durée, les conséquences peuvent être désastreuses sur le système locomoteur en entier, donc pas uniquement sur le dos.

Stress et maux au dos ?


L’exemple des personnes ayant vécu des traumatismes de guerre est parlant. Un médecin de guerre en Bosnie me confie: «Les premiers symptômes sont des maux d’estomac, du cou et des maux de tête, les mâchoires sont très, très contractées, et les patients se plaignent du dos…»
Les soins chiropratiques sont aussi efficaces pour des douleurs de ce type. Et ils sont complémen-taires, entre autres, à l’utilisation d’anxiolytiques ou de médica-ments pour un colon spasmodique, une vésicule qui se vide mal ou une hyperacidité de l’estomac.

Les pathologies fonctionnelles du mal au dos


L’hyperacidité gastrique produit de fortes contractures sur la base du crâne et dans la zone dorsale haute, celles-ci partent facilement avec des manipulations appropriées des vertèbres concernées, mais elles reviennent en quelques heures si aucune mesure n’est prise pour soigner l’estomac. Et elles peuvent devenir plus résistantes aux soins si la thérapie est poursuivie d’une manière inadéquate.
Les cas de ce genre sont fréquents, mais quelques séances de plus sont parfois utiles pour affiner le diagnostic.
Dans le même ordre d’idées, les patients se plaignant de diverses maladies de l’intestin et du côlon souffrent souvent de lombalgies, voire de sciatiques. Le seul fait d’être ballonné (à cause d’une inflammation, de rétention d’eau, de gaz, de transit irrégulier, etc.) augmente d’une manière considérable les contraintes physiques sur le bassin et la colonne lombaire, et rompt le délicat équilibre articulaire garant d’un bon fonctionnement.
La pensée populaire schématise souvent la relation de cause à effet des douleurs dorsales avec un faux mouvement, un effort bénin, une mauvaise position lors du sommeil.
En fait, il y a souvent plusieurs causes, qui ne sont pas forcément « mécaniques » ni dues à un événement accidentel et sont souvent éloignées de l’endroit douloureux.
Les douleurs du haut du dos chez les adolescents, même des adultes, sous thérapie d’orthodontie ou des patients souffrant de malocclusion en sont un exemple. Ce sont des douleurs très tenaces dont l’horaire est souvent matinal ou qui s’accentuent lors de longues positions assises. Elles disparaissent radicalement dès que le thérapeute corrige la malocclusion ou les tensions qui y sont reliées. Il peut s’agir aussi d’une simple pression trop forte entre deux dents, une canine avec une incisive, par exemple.

Chaussures et mal de dos

Les chaussures mal construites ou mauvaises et leurs conséquences sur la posture nécessiteraient un chapitre entier. Le pied chaussé a besoin d’être soutenu, la marche pieds nus sur un sol inégal ne pose évidemment aucun problème.
La tendance actuelle est d’acheter des chaussures confortables et molles. Si l’avant-pied peut être contenu dans une matière souple, l’assise du talon devrait être assurée par des contreforts fermes qui évitent le tangage. La répétition des mêmes mouvements sur un sol dur et plat fatigue la cheville et les muscles de la jambe. Cette fatigue se transmet en amont sur le bassin et le dos et provoque un concert de dysfonctionnements posturaux et des douleurs tenaces.

Le sport et le mal de dos

La marche sur terrain accidenté fatigue aussi lors du port de chaussures molles, mais les mouvements étant constamment variés, la fatigue ainsi engendrée se répartit sur tous les muscles de la jambe.
Paradoxalement, l’effet de talons modérément hauts (jusqu’à 5 cm) sur l’appareil locomoteur semble être moins nocif que des chaussures molles et plates. Tout d’abord, la chaussure à talons a une construction plus solide qui empêche l’étirement de l’arc plan-taire ainsi que la torsion de la chaussure ; sans cette structure rigide, la marche avec ce genre de chaussures serait impossible. L’appui excessif sur l’avant du pied n’est guère confortable ni bon pour le pied qui se déforme, à moins d’avoir des ligaments très solides, mais la marche sur la pointe des pieds est un exercice qui est sans danger s’il ne dure pas trop longtemps. Les enthousiastes de ce type de chaussures ne se plaignent pas plus que les autres de leur dos.
La marche pieds nus ne pose pas de problème pour l’ensemble de l’appareil locomoteur, mais c’est le sol dur et plat qui est handicapant. Sur une telle surface, la répétition du même appui ou des mêmes mouvements lors de la marche ou de la course fatigue nos articulations et notre charpente musculaire beaucoup plus que sur un terrain inégal ou plus mou. Cette fatigue se transmet plus haut et les premières douleurs se ressentent souvent en haut du bassin et dans la zone dorsolombaire.
Comme je l’ai déjà dit plus haut, l’immobilité par habitude, ou par obligation professionnelle, est la cause la plus fréquente des maux de dos. Notre système locomoteur est un appareil qui est fait pour bouger, stationner debout, porter des poids, marcher, courir et s’accroupir.
La position assise ne permet en aucune manière l’équilibre des tensions qui nous maintient en position érigée. Cette position conservée longtemps, la fatigue musculaire qu’elle engendre subsiste vingt-quatre heures ou plus et s’additionne chaque jour. Les petites articulations vertébrales ne supportent pas non plus l’im-mobilité. Les contractures et les compensations mécaniques qui s’échafaudent en conséquence sont autant de raisons pour les douleurs qui peuvent être locales, comme irradiées.
Le sport mal pratiqué motive un nombre croissant de consultations. En tête de liste se trouvent les adeptes des salles de gym, et autres, qui font de 30% à 40% de mouvements inappropriés pour leur âge ou pour leur condition physique ; souvent parce que l’ergonomie du dos n’est pas respectée et, surtout, en voulant absolument renforcer la paroi abdominale aux dépens du dos .
Si on veut lever un poids, on le fait en position de salutation, comme les haltérophiles, et c’est alors la musculature dorsale qui fait le plus gros travail, en bloquant le rachis lombaire dans sa position naturelle, en lordose physiologique, et les hanches en flexion, comme une grue.
Pour ne pas charger les articulations postérieures et le disque, la musculature abdominale qui agit au bout d’un long levier se contracte également pour équilibrer les forces, mais dans une moindre mesure.

Etirement du dos… Oui, mais attention


L’étirement des chaînes postérieures est utile, voire indispensable pour de nombreux patients, mais la manière de le faire est souvent inappropriée, surtout si elle n’est pas suffisamment personnalisée.
La mauvaise manière de tirer le dos.
• L’élongation de la musculature rachidienne mal faite a tendance à surcharger les zones mécaniquement faibles, comme la jonction lombosacrée ou craniocervicale
• L’allongement des muscles postérieurs de la cuisse et de la jambe a les mêmes effets délétères s’il est mal effectué.
• Dans le même ordre d’idées, les exercices tendant à aplatir la lordose lombaire sont des armes à doubles tranchants. Exécutés en position assise les pieds au sol, ou debout, et inscrits dans une rééducation globale de l’individu, ceux-ci sont forts utiles

L’ostéoporose


L’ostéoporose ou perte de masse osseuse se traduit par des dou­leurs, des tassements vertébraux ou des fractures dont les séquel­les rendent la colonne beaucoup moins fonctionnelle. C’est une maladie connue bien documentée pour laquelle les soins modernes ont peu d’effets secondaires. Il est toutefois intéressant de noter (maladies métaboliques et systémiques mis à part) qu’elle touche d’avantage les sédentaires et les patients qui présentent des dos raides.

Comment eviter l’ostéoporose

On sait que le meilleur moyen d’éviter l’ostéoporose, excepté une alimentation équilibrée, est une activité sportive régulière au grand air. J’ajouterai que celui qui porte régulièrement des poids ou a une activité professionnelle physiquement astreignante souffre rarement de cette maladie. L’ostéoporose n’est pas une contre indication aux soins chiropratiques, contrairement à ce qui est sou vent affirmé.

L’arthrose


L’arthrose, qui est perçue comme un mal quasi inévitable, désigne une destruction avec reconstruction un peu désordonnée d’une arti­culation après un traumatisme, une surcharge mécanique ou une inflammation.
On voit des gens remplis d’arthrose rachidienne qui souffrent peu ou pas, surtout s’ils restent actifs. L’arthrose des gros­ses articulations, comme celle de la hanche et du genou est souvent douloureuse et débilitante.
Dans ces cas, la boiterie qu’elle engen­dre peut favoriser l’établissement de douleurs de dos. La prise en charge chiropratique peut calmer ces douleurs et conserver le bon fonctionnement des grosses articulations touchées ; cela permet, en outre, une récupération bien plus rapide après la chirurgie.

La maladie discale


La maladie discale avec arthrose degenerative intervertébrale est une affection fréquente qui justifie à elle seule la moitié des consul­tations.
Contrairement à la pensée médicale qui admet trop souvent qu’il est normal de souffrir de cette « maladie » et à la pensée popu­laire qui y croit, les douleurs qui semblent y être reliées se guéris­sent très bien et d’une manière durable sans aucune dépendance thérapeutique, à part quelques minutes d’exercices quotidiens.

La spondylolyse lombaire


La spondylolyse lombaire - séparation de la partie antérieure et postérieure d’une vertèbre – est en soi un défaut de construction qui rend le rachis lombaire à la fois plus souple et plus faible.
Ce défaut impressionne toujours le patient – surtout à la vision de sa radiographie – qui se sent tout à coup beaucoup plus mal et surtoutincurable.
Au moins 5 % des individus sont affectés par ce défaut et une majorité n’en souffre même pas.
Les soins chiropratiques sont efficaces à + de 99%. L’intervention de stabilisation ou de décompression est, à mon avis, rarement indiquée.

Le mal de Scheuerman


Le mal de Scheuerman est une maladie de croissance dont les séquelles rendent le rachis plus rigide; il se soigne par le repos et une rééducation globale de la posture; le traitement est fort utile dans les phases aiguës de la maladie, comme pour ses séquelles.
Très spectaculaires, radiologiquement, les images effraient souvent le patient qui se croit partiellement invalide.
Il s’agit bien sûr d’une mauvaise présentation du mal. Personnellement, je n’ai jamais vu de patients très handicapés physiquement pour des séquelles de ce genre.

Le lombago


Le lombago, littéralement blocage des vertèbres lombaires, est fré­quent, souvent handicapant, mais évolue en général bien lors du premier épisode et est souvent suivi d’une longue rémission. Les rechutes peuvent en revanche être plus longues, plus fréquentes et plus agressives.
Du bas de la colonne dorsale à la jonction lombosacrée, toute surcharge articulaire entre les vertèbres et les ailes iliaques ainsi que le sacrum peut provoquer une réaction hypertonique de l’en­semble des muscles dorsolombaires.
Cette réaction, qu’elle soit fine ou massive, est essentiellement protectrice et empêche une aggra­vation de la surcharge mécanique. Il est donc juste de considérer ce blocage comme une aide à la guérison. Cela dit, il faut soulager les douleurs tout en recherchant la ou les causes initiales – ce qui est facile dans la majorité des cas pour le clinicien averti.
Ce qu’il ne faut surtout pas faire, c’est prendre des calmants sans consulter et ignorer son mal, surtout si celui-ci récidive souvent.

L’instabilité sacro-iliaque


L’instabilité sacro-iliaque est, elle, très douloureuse, et le patient est souvent plié en deux et incapable de marcher.
Le traitement par ajustement du bassin et le port d’une ceinture sacro-iliaque pen­dant quelques jours est un classique dans la thérapie manuelle.
Certaines de ces lésions peuvent se maintenir pendant des années, rendre les gens à moitié invalides, ou se résoudre en quelques séances…

Hernies discales & Sciatique


Hernies discales


Les hernies discales, dont on parle beaucoup, sont certes fréquen­tes, mais ne sont heureusement pas toujours la source des dou­leurs. On en parlera plus en détail dans un autre chapitre.

Sciatique


La sciatique signifie inflammation du nerf sciatique, souvent près
de l’émergence du nerf. Ses origines sont similaires à celles du lombago, bien qu’elle soit de nature plus coriace et plus grave.
On associe presque toujours et injustement cette névralgie à une com­pression par hernie discale.
Lorsque la douleur est intense et peu contrôlée par les antal­giques et les anti-inflammatoires, ou que la perte de sensation et de force est importante, la probabilité de compression par une hernie discale ou une autre pathologie est élevée et celle d’une interven­tion chirurgicale aussi.
L’échec d’un traitement conservateur est souvent une indication pour la chirurgie.
Les situations de ce genre ne représentent pourtant pas la majorité des sciatiques. Nombreuses sont celles, en effet, qui ont pour origine des troubles fonctionnels des régions évoquées ci-dessus et qui évoluent favorablement grâce au traitement conservateur.
Heureusement, parce qu’une entorse lombaire ou une surcharge mécanique avec son concert de contractures et le processus inflam­matoire qui l’accompagne peuvent provoquer des douleurs irra­diées, également avec une perte sensitive. Ces syndromes souvent très douloureux répondent favorablement à toute une série de mesures thérapeutiques propres au chiropraticien.
Le syndrome pyramidal (ou piriforme) est sans doute le plus fréquent; encore faut-il trouver les raisons de ce dysfonctionnement, lesquelles peu­vent être aussi diverses que surprenantes.

Les dorsalgies - dorsalg


Les dorsalgies - dorsalgo (douleur située plus haut que celle du lombago) – etintercostalgies sont des douleurs dues à des troubles fonctionnels de la colonne dorsale et des articulations des côtes.
Mis à part le fait que ces troubles interagissent avec la mécanique respiratoire, ces douleurs sont souvent associées à des irritations ou spasmes gastro-intestinaux ou d’autres organes internes comme la vésicule biliaire ou le cœur.
Un simple pneumothorax peut aussi les provoquer. Il s’agit donc d’évaluer ces symptômes avec soin, avant toute tentative thérapeutique.

Le torticolis


Le torticolis, littéralement «cou tordu», résulte de fortes contractu­res de la musculature cervicale qui «paralysent» momentanément la personne qui en est affectée. Sa phase aiguë évolue spontané­ment vers le mieux en quelques jours.
La majorité des patients qui en sont atteints répondent fort bien à la prise en charge chiroprati-que, dont le but n’est pas seulement antalgique, mais va aussi dans le sens d’une compréhension et d’une correction des lésions fonc­tionnelles qui sont à l’origine du mal (l’origine peut en revanche être tout autre que mécanique : oculaire, auditive, inflammatoire ou à la suite d’une affection naso-pharyngée, etc.)

La diagnostic du mal de dos


La diagnostic des maux de dos


Comme on vient de le voir, le dos est souvent le siège de douleurs réflexes issues d’autres problèmes de santé de tous types, comme un côlon irritable, un ulcère, une infection, une tumeur ou le stress. Il s’agit de le comprendre rapidement, afin de prendre le patient en charge de la manière la plus adéquate.
Cela représente le premier pilier de l’investigation médicale aussi appelé diagnostic différentiel. Cette recherche nécessite du temps, une bonne écoute et un examen très attentif du malade.
Celui-là ne saurait être remplacé par des examens dits objectifs, comme la chimie sanguine, les radiographies, un passage au scan­ner ou autres investigations qui restent complémentaires à l’histo­rique et à l’examen du patient, même si ce dernier est bien connu du praticien ou semble déjà savoir lui-même ce qu’il a.
D’une manière générale, et probablement parce que le monde a beaucoup changé ces derniers quarante ans, on a oublié ce que les anciens se sont transmis de génération en génération concernant l’hygiène posturale et le sport.
Marcher longtemps et surtout porter jusqu’à 100 kg était normal. Sommes-nous encore capables de porter 50 kg sans problème? Les expressions «redresse-toi» ou «tiens-toi droit» existent-elles encore aujourd’hui? Pendant la dernière guerre, mes parents mettaient leurs skis sur les vélos, pédalaient jusqu’aux stations de ski et grimpaient jusqu’au refuge. Le lendemain, il y avait la descente à ski et le retour à vélo !…

Ergonomie & maux de dos


Ergonomie de la postion assise


Comme  mentionné, la position assise nuit lorsqu’elle est conservée trop longtemps, mais, comme on ne peut pas l’éviter, autant adopter alors des stratégies pour éviter les dommages.
Il est presque impossible de conserver cette position par le seul appui du bassin et des cuisses sur une chaise. Il faut donc pou­voir poser fermement les pieds au sol. Les individus n’étant pas tous de la même hauteur, leur chaise devrait être réglable en hauteur… ainsi que leur table! Cela étant rarement possible, il faut donc avoir un appui pour les pieds.
La barre transversale d’une chaise peut aider comme un tabouret bas.
La position correcte du bassin et du dos devrait se rapprocher de la position debout, c’est-à-dire le bassin vertical ou légèrement en avant, et surtout pas le contraire. La position à cheval sur un tabouret semble la plus juste, mais n’est guère sociale…
Il semble en tout cas opportun de conserver le plus possible la lor­dose lombaire (le creux des reins) ou du moins de la récupérer le plus souvent possible . Le siège avec appui sur les genoux semble faciliter ce mouvement, mais l’appui sur les genoux n’est pas pratique pour qui se lève souvent et fait même mal.
Le pied a aussi davantage de capteur que le genou. Or, ces capteurs favori­sent le redressement lombaire.

La meilleur chaise pour le mal de dos


La meilleure chaise malheureuse­ment reste le… ballon, ce qui va bien à la maison ; il existe aussi les tabourets à bascule, mais ils sont peu stables.
On limitera la position assise le plus possible et, surtout, on redressera son dos et changera de position à la manière spontanée des enfants. En voiture, en avion et dans tout fauteuil réglable, il faut éviter d’ajuster le dossier trop droit, afin de pouvoir conserver sa lordose lombaire ; le dossier légèrement incliné en arrière permet de relâcher la tension de l’arrière des jambes et de se redresser.
Lorsqu’on tend trop les jambes en conduisant, on a de la difficulté à conserver le creux des reins. Il faut donc également se rapprocher des pédales.
Certaines chaises ou certains fauteuils ont une assise trop longue, ce qui ne permet pas de poser les pieds au sol ni de profiter de l’ap­pui lombaire pour une personne de taille moyenne.
Si les fauteuils anciens, par exemple de type Voltaire, étaient fort bien conçus, les salons actuels le sont moins, et certains sofas mous et moelleux ne soutiennent guère les reins. Les lombalgiques devraient donc les éviter, comme les bien-portants d’ailleurs.
La fatigue posturale se ressent facilement vingt-quatre heures après des efforts inhabituels. Il en va de même pour les douleurs muscu­laires. En s’asseyant mal chaque jour, la douleur peut ne plus nous quitter.
Si le tronc doit être conservé le plus droit possible, la position de la tête a une influence sur le reste du tronc et les tensions du dos. La tête penchée en avant pendant de longues périodes est néfaste. Les horlogers le savent depuis longtemps, eux qui, il y a de nom­breuses années, mélangeaient les calmants (en les réduisant en poudre) avec le beurre pour les tartines matinales! Ils souffraient de céphalées liées à leur activité.
Peu à peu, ils ont adapté leur position en élevant l’établi au niveau des épaules, ce qui leur per­met de maintenir la tête presque droite. Malheureusement, par manque d’intérêt ou par ignorance, dans de nombreux métiers, peu de mesures de ce genre sont prises par les employeurs ou les employés pour y remédier.
Les contraintes physiques d’un travail de bureau peuvent être mul­tiples: écran mal centré, trop haut ou trop bas, chaise non réglable ou inconfortable, bureau sans place adéquate pour les jambes, lumière inadaptée, sont autant de facteurs qui causent ou aggra­vent les maux de dos.
La position assise correcte est un apprentissage qui devrait se faire dès le jeune âge. De nos jours, il est difficile d’inculquer aux jeunes quelques bons vieux principes, alors qu’une majorité les ignore et que le corps enseignant a peur de les faire appliquer ou n’a tout simplement pas les moyens de le faire.

La position couchée


Pourquoi torturer les gens à propos de leur position de repos ou de sommeil?

Chacun a sa position favorite, qui peut varier avec les années, voire changer spontanément ou à la suite d’une maladie ou d’un accident. La position à moitié sur le ventre et à moitié sur le côté droit est la plus fréquente. Mais certains se portent fort bien en dormant sur le ventre ou, plus rarement, sur le dos.
Quant aux enfants, ils sont capables de dormir dans toutes les positions et même à quatre pattes! Les tests de kinésiologie confirment que la position favorite est la plus adaptée. Vouloir la changer n’amène rien au patient, mais il est en revanche utile pour le thérapeute de la connaître.

Quelle postion pour ne plus avoir mal au dos en dormant

En cas de fortes douleurs, la position sur le dos, les jambes sur une chaise ou sur un gros coussin, peut être utile pendant de brèves périodes, ou quelques heures, mais ne saurait remplacer la position en chien de fusil du côté le moins douloureux.
Le matelas et le coussin sont des attributs très personnels, et chacun trouve son bonheur tout seul, rares sont ceux qui se sentent à l’aise sur un matelas très mou ou très dur. Les bons dos sont moins dépendants de la literie que les dos à problèmes.
En cas de mal connu et chronique, il est essentiel de conserver sa mobilité le plus possible grâce à la marche, s’asseoir absolument droit et privilégier les exercices à quatre pattes ). S’aliter est certes utile, mais il faut se lever souvent, à moins que la douleur soit trop forte. Porter une ceinture lombaire, ou lombostat, est aussi logique à condition de rester actif.

Comment agir lors d’une crise de maux de dos


Lors de grosses crises et avant de pouvoir se faire examiner, le pre­mier réflexe est de se coucher et de prendre un calmant ou éven­tuellement un anti-inflammatoire ou les deux. Il convient ensuite de trouver la position la plus antalgique et de mettre de la glace sur l’endroit le plus douloureux et du chaud sur le reste du dos.
A ce stade, manger légèrement, boire suffisamment et éviter tout ballonnement de l’abdomen ou constipation. Au besoin, utili­ser un laxatif léger.
Si la situation n’entraîne pas de perte de sensi­bilité, de contrôle ou de force, qu’il n’y a pas de signes d’infection ou d’autres symptômes étranges, il ne faut pas s’alarmer. Au contraire, accepter le mal avec philosophie et se détendre le plus possible, cela permet une meilleure compréhension du mal et une récupération plus rapide.
Lorsque la phase très douloureuse, souvent de un à trois jours, est passée et, avant de remarcher, les premiers mouvements se feront en quadrupédie. Après ce stade, le chaud, les bains thermaux, les autres exercices seront utiles.

Vélo et mal de dos


Le vélo : en salle, les vélos permettent de conserver une position assise légèrement en salutation qui ne demande aucun effort, ni à la colonne lombaire, ni au rachis cervical.

La postion idéal pour ne pas avoir mal de dos en 


vélo


De plus, un appui soutenu sur les mains, par exemple pour la position en danseuse, ne gêne en rien.
Lorsque la selle et le guidon sont au même niveau, comme pour le VTT ou le vélo de course, l’ergonomie du dos change com­plètement.
La colonne lombaire s’aplatit ou encore se «cyphose» avec les conséquences qu’on connaît , et le cycliste doit redresser sa tête complètement pour regarder devant lui. Dans cette position qui est fatigante lorsqu’elle est conservée longtemps, les jambes ne peuvent pas développer la totalité de leur force et pénalise la performance.
En outre, et comme je l’ai déjà mentionné plus haut, de nombreux cyclistes consultent pour des céphalées ou des douleurs de la nuque sans faire eux-mêmes la corrélation entre leur position et les douleurs. Il suffit pourtant de rehausser radica­lement le guidon pour obtenir une position confortable et correcte, et la disparition des symptômes.
La position sur un vélo de course est encore plus inappropriée pour notre anatomie, la prise du guidon étant largement au-des­sous du niveau de la selle. Certes, les compétiteurs s’y habituent et on les voit souvent déformés, mais l’amateur a avantage à chercher la position la plus appropriée, qui se trouve souvent au-dessus du niveau de la selle. Le guidon des vélos de triathlon permet en tous les cas une position plus juste pour le bas du dos.

Le sport & mal de dos


Ski & maux de dos


Le ski de descente ou de fond est un sport très profitable pour le dos, parce qu’il demande un effort d’équilibre et tonifie l’ensemble du système locomoteur. De plus, les changements de pression – de la relative apesanteur à la compression – en font un mouvement très complet.
Je ne vois qu’un seul problème actuellement: il s’agit des chaussures trop hautes ou trop dures qui créent des tensions excessives dans la musculature des genoux et au niveau du bassin, surtout si elle bloque la cheville en avant, l’empêchant de revenir proche de la verticale

Équitation & mal de dos


L’équitation ne semble pas poser de problèmes particuliers pour le dos. En effet, les cavaliers développent une bonne musculature dor­sale et consultent peu. L’excès de trot assis peut créer des douleurs si le cheval engage peu ou a une échine très dure, mais cela se soigne bien.

Aviron & le  dos


L’aviron est un sport excellent pour le dos même s’il se pratique assis. Encore faut-il tenir son dos droit jusqu’au bout du mouvement…

Le golf et le mal de dos


Le golf est un sport qui, comme le tennis ou les autres jeux de balle, demande une coordination optimale du système locomoteur et la capacité de mobiliser l’ensemble du dos avec force et rapidité, et cela même lors des torsions du tronc. Au cours de mouvements de ce type, les muscles abdominaux et la région dorsale effectuent un travail considérable, dont la colonne lombaire et le bassin subissent le contrecoup.
Il faut donc que la base, c’est-à-dire le bassin et les jambes, soit placée correctement. Ces sportifs ne consultent pas souvent.

Le jogging / Foot


Le jogging et le football provoquent des lésions fonctionnelles simi­laires: entorses des chevilles, surcharge des genoux et des hanches et lombalgies par serrage lombaire (surcharge articulaire lombosa-crée). Je recommande les exercices habituels pour les jambes, mais aussi le stretching lombaire ainsi que pour le bassin (fig. Courir est fort bon, surtout sur un sol irrégulier et varié, mais le coureur devrait aussi marcher au moins 30% du temps consacré à l’exercice.

La marche et le mal de dos


La marche reste le sport indispensable pour tous. Il ne s’agit évi­demment pas de flâner devant les magasins, mais de maintenir un pas soutenu. Pour les jeunes et les moins jeunes, une ou deux heu­res plusieurs fois par semaine, c’est le minimum. Pour les person­nes plus âgées, une heure par jour reste incontournable.
Si vous en avez l’occasion, faites filmer votre démarche à votre insu, vous serez sans doute étonné du résultat…

Alimentation et maux de dos


Il y a trente ans, le régime alimentaire européen était beaucoup plus riche qu’aujourd’hui.
Un copieux petit-déjeuner et deux repas prin­cipaux comportant viande, fromage, gâteaux et vin, deux fois par jour, n’était pas rare. Si le travailleur de force s’en accommodait bien, le sédentaire semblait en souffrir.
En effet, il y a trente ans, la prescription d’un régime équilibré par rapport à l’activité et riche en fibres faisait disparaître 50% des douleurs, surtout chez les gens se plaignant de douleurs de dos chroniques et d’horaire matinal.

Bien manger pour ne pas souffrir du dos


Si trop est nocif, le manque de bons produits frais l’est aussi.
On constate donc aujourd’hui, et surtout chez les jeunes, le dévelop­pement de douleurs, de fatigues posturales, de faiblesse physique qu’il est difficile de ne pas associer à la transformation de notre société et à ses modes alimentaires : fast-foods, absence de fruits ou de légumes frais et de fibres complètes, excès de boissons sucrées,plats préconfectionnes et manque de pauses adéquates pour les repas. La malnutrition nouvelle fait peur si on se rappelle ce qui fai­sait probablement la santé de nos ancêtres.
Au début du siècle dernier, le dentiste Weston Price (cité par la doctoresse Kousmine dans Soyez bien dans votre assiette jusqu’à 80 ans et plus) a cherché à comprendre le développement des mala­dies et des caries. En effet, les dents semblent se conserver pen­dant des millénaires et l’émail dentaire est plus dur que l’acier! Encore faut-il pouvoir ingérer les aliments qui conviennent pour le construire. A cet égard, les conclusions de Price, dont la recherche fut couronnée de succès, sont riches d’enseignement.
Il constata que les populations qui vivaient en autarcie et ne dépendaient que de leurs produits locaux pour survivre devenaient centenaires, étaient peu malades et ne présentaient pas ou peu de troubles dentaires. Mais, dès que leur village était relié par la route aux centres plus civilisés et que s’installaient le boulanger et le magasin d’alimentation, caries et mauvaises implantations dentai­res apparaissaient comme les autres maladies connues de notre civilisation.
Comme le précise Catherine Kousmine dans son livre, la base de notre civilisation s’est faite surtout sur le blé. Or, si la farine conserve tous ses éléments nutritifs pendant deux à trois jours seulement, le boulan­ger fait le pain avec une farine qui a reposé environ quinze jours, car elle se travaille mieux ainsi.

Ceintures de dos et ceintures dorsale


Une ceinture de dos, ou ceinture de soutien dorsale permet de soulager le mal de dos, limiter les risques de lombalgie, sciatique, lumbago et éviter une mauvaise posture dorsale lors d’effort.

Voici plusieurs images de ceintures de dos

Ceinture Lombaire GIBAUD

Gibaud propose “Lombogib Underwear”, une nouvelle ceinture de soutien lombaire adaptée à la morphologie de chacun. Conçue avec un tissu monocouche “bi-nervosité”, la ceinture “Lombogib Underwear” est plus légère que les ceintures classiques pour un confort optimum. Lavable en machine, elle se porte sous n’importe quel vêtement en toute discrétion. Prix : de 60,50 à 66,50 euros.
Ceinture Lombaire GIBAUD
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Ceintures de dos professionnelles

Ceintures de dos professionnelles
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Des ceintures de qualité pour sécuriser votre dos et vous aider efficacement au quotidien. Ces ceintures de maintien de dos vous accompagnerons  pour prévenir et soulager les douleurs ou permettre la reprise progressive d’activité.
Ceintures dorsale pour sports et loisirs
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Des ceintures dorsale techniques et anatomiques de grande qualité, pour sécuriser et soulager votre dos durant vos activités sportives ou tout simplement pour une protection efficace

Mal au dos


Mal au dos, les causes

Vous avez mal au dos : découvrez vite quelles sont les causes possibles de ces insupportables lombalgies et ce qui est susceptible d’aggraver votre douleur.

Mal au dos : les causes fréquentes

Parmi les causes les plus fréquentes du mal de dos, on trouve l’habitude de la mauvaise posture à laquelle, hélas, on ne fait plus attention parfois et ce, depuis plusieurs années. Que l’on soit assis pour travailler ou couché pour dormir, dans une mauvaise position de manière répétée et surtout prolongée, l’évolution plus ou moins lente de la douleur nous entraîne inexorablement vers des problèmes de dos.
Ceux qui doivent rester dans la même position pendant longtemps à cause de leur travail doivent être prudents par rapport à la façon dont ils se tiennent chaque jour. Cela concerne les personnes qui travaillent dans un bureau mais aussi celles qui prennent souvent la route au volant d’un véhicule ou qui doivent rester debout plusieurs heures de suite en usine ou en atelier.
L’autre cause répandue des douleurs dorsales, c’est encore une mauvaise habitude mais cette fois-ci, elle est plus violente que la mauvaise posture. Quand on doit solliciter son dos tous les jours pour porter des choses lourdes, c’est le risque de hernie. Un faux mouvement peut aussi créer une douleur au dos et on peut même se coincer une vertèbre.
Contrairement à ce que l’on pourrait croire, ces traumatismes arrivent dans des circonstances ordinaires. En faisant du sport ou bien du ménage, en faisant son jardin ou en bricolant chez-soi : on peut se faire mal au dos facilement si on ne fait pas attention.

Mal au dos, des facteurs aggravants

Mal au dos
Mal au dos, les causes
Il y a donc des bonnes habitudes à prendre ou à reprendre mais il existe aussi des facteurs qui peuvent aggraver votre mal au dos. L’un d’eux, c’est le surpoids. Le surpoids demande au dos plus d’efforts et fragilise la colonne vertébrale. Ainsi, la grossesse a tendance à intensifier une douleur déjà présente.
L’anxiété ou le stress, c’est aussi un facteur aggravant pour le mal de dos. La douleur peut s’intensifier et devenir aiguë quand on est angoissé pour une raison ou pour une autre.
La fatigue enfin et des problèmes médicaux tels que l’arthrose ou l’ostéoporose peuvent aussi rendre ces douleurs insupportables.

Mal au dos, comment être plus vigilant ?

Si une bonne alimentation, un minimum d’activité physique et un sommeil suffisamment réparateur sont essentiels pour lutter contre ces douleurs dans le dos, il est impératif de prêter plus d’attention à la façon dont on se tient tout au long de la journée.
Ce n’est pas facile car, pour beaucoup de personnes qui souffrent de lombalgies, il s’agit d’une habitude ou de plusieurs habitudes prises depuis très longtemps. Toutefois, c’est loin d’être impossible. Si vous parvenez à travailler sur vos postures habituelles, vous pouvez très rapidement améliorer votre confort et ressentir moins de tensions dans le dos.
Quand on est sujet au mal du siècle, il faut veiller à respecter toutes les consignes si on doit transporter des charges lourdes dans le cadre de son activité professionnelle mais aussi à la maison.
Personne n’est à l’abri d’un tour de rein ou d’une chute, quand on bricole, qu’on veut changer un meuble de place, changer une ampoule et même en faisant du rangement dans ses placards. Il y a des manières de soulever certains objets, caisses ou cartons et des recommandations à suivre. Il y a également des postures à éviter de faire durer trop longtemps quand on fait du ménage ou qu’on porte un enfant dans ses bras par exemple.

Douleur de dos : pourquoi cela fait mal ?


Douleur de dos


En explorant la structure dorsale, on comprend mieux pourquoi il est si difficile de cerner la douleur de dos. D’autant plus que vu la complexité du système nerveux dans cette zone, parfois il est possible d’avoir mal quelque part alors que le véritable problème est ailleurs ! À moins que vous ne fassiez partie des personnes à risques, il n’y a bien souvent pas lieu de s’angoisser. Toutefois, nous allons voir qu’il ne faut jamais laisser traîner cette douleur et hélas, beaucoup vivent avec comme si c’était devenu une habitude.

Relativiser les risques du mal de dos…

Douleur de dos
Douleur de dos
S’il y a une partie de notre corps qui est particulièrement mise à mal tout au long de la journée et disons-le, tout au long de la vie, c’est bien le dos. Dans la majeure partie des cas, lorsque l’on a une douleur de dos, ce n’est pas quelque chose de grave. Douleur musculaire ou articulatoire, elle peut faire souffrir surtout qu’elle ne s’arrête que rarement au cours d’une journée, mais il est rare que cela soit le symptôme d’un trouble inquiétant.

… mais ne jamais prendre la douleur de dos à la légère !

Les spécialistes mettent en garde contre la douleur de dos et conseillent de prendre des précautions même si ce n’est pas une maladie grave. En revoyant ses habitudes de travail et de loisirs mais aussi en évaluant sa douleur, on peut commencer à la combattre. Celle-ci n’est pas ressentie de la même façon par tout le monde et quelqu’un qui a plus de tolérance à la douleur en général et à la douleur dorsale en particulier, risque de passer des mois et même des années sans rien faire pour protéger son dos.

Le dos est solide mais il ne faut pas trop lui en demander

Le dos est une zone robuste mais aussi très complexe. C’est ainsi que la douleur de dosa de multiples causes possibles.
La colonne vertébrale est elle-même une partie complexe du dos avec ses vertèbres chargées de soutenir toute la structure et réparties en plusieurs types car il y a les vertèbres cervicales mais aussi les dorsales et les lombaires. Cette structure depuis le coccyx tout en bas de la colonne vertébrale jusqu’à la première cervicale, doit aussi être parfaitement mobile et souple. Si l’un ou l’autre des éléments ne joue plus son rôle correctement, toute la structure peut en faire les frais.
Entre chacune de ces vertèbres, les disques sont là pour les relier. Ce sont des éléments très importants qui sont parfois mis à mal avec certains mouvements. D’autres parties du dos sont susceptibles d’être douloureuses. Ce sont les muscles dorsaux mais aussi, les ligaments qui relient les vertèbres. Chaque élément de cet ensemble peut faire souffrir indépendamment l’un de l’autre.

La douleur de dos : des personnes à risque

Quand on reste trop de temps dans la même position qui demande de fournir un effort ou que l’on fait un mouvement brusque ou trop de mouvements nocifs pour le dos de manière répétée, la douleur se fait sentir. Nous ne nous sommes peut-être pas abîmé ou cassé quoi que ce soit mais c’est tout même une vraie douleur.
Toutefois, au bout d’un certain temps ou à cause d’un mauvais mouvement, on peut réellement abîmer l’état de son dos. Cela arrive avec les sportifs de haut-niveau parfois et les personnes qui ont porté de lourdes charges pendant des années. Certains sont plus à risque que d’autres. Quand ils arrêtent l’activité qui cause des dégâts, il est malheureusement parfois trop tard pour la douleur de dos.